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\pard\fi0\li0\ql\ri0\sb0\sa0\itap0 \plain \f0\fs16 18810227_FRA_35145_D_Dug_JeaM
\par D\u233 \'e9c\u233 \'e9s de Jean-Marie Dugu\u233 \'e9
\par
\par L'an mil huit cent quatre vingt un, le vingt sept f\u233 \'e9vrier, \u224 \'e0 sept heures du matin, par devant nous F\u233 \'e9lix Bouchet, maire officier d'\u233 \'e9tat civil de la commune de Langon, canton et arrondissement de Redon, d\u233 \'e9partement d'Ille et Vilaine, ont comparus, Harel Joseph, ag\u233 \'e9 de vingt huit ans, domestique, demeurant \u224 \'e0 Chatillon, et F\u233 \'e9vrier Amand, instituteur demeurant au bourg, les deux en la commune de Langon.
\par Le premier et le second, amis du d\u233 \'e9funt, lesquels nous ont d\u233 \'e9clar\u233 \'e9s qu'hier \u224 \'e0 sept heures du soir, Dugu\u233 \'e9 Jean-Marie, ag\u233 \'e9 de soixante trois ans, n\u233 \'e9 \u224 \'e0 Langon, garde-champ\u234 \'eatre, demeurant \u224 \'e0 la Chenac, fils de feu Pierre et Louise Gauvichon, \u233 \'e9poux de Michelle Rivi\u232 \'e8re, est d\u233 \'e9c\u233 \'e9d\u233 \'e9 en sa susdite demeure, ainsi que nous nous en sommes assur\u233 \'e9.
\par De quoi nous avons dress\u233 \'e9 acte, que le deuxi\u232 \'e8me comparant a seul sign\u233 \'e9 avec nous, le premier ayant d\u233 \'e9clar\u233 \'e9 ne le savoir faire, de ce requis apr\u232 \'e8s lecture.\par}
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