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Mariage de Jean-Marie Heulot et de Françoise Perrine Montulé

• Titre	Mariage de Jean-Marie Heulot et de Françoise Perrine Montulé
  Titre court	18710110-FRA-MONTREUIL DES LANDES-M-HEU-JEA-MON-FRA
  Archives	AD 35
  TYPE	Deed
  ID de la source	17394
  Lié à	Famille: Jean-Marie HEULOT / Françoise Perrine MONTULÉ

  
  

• Photos

  18710110-FRA-MONTREUIL DES LANDES-M-HEU-JEA-MON-FRA.jpg

  
  

• Notes

  L'an mil huit cent soixante onze, le dix janvier à trois heures du soir, par devant nous Gatais René, maire et officier de l'état civil de la commune de Montreuil des Landes, arrondissement de Vitré, département d'ille et vilaine, sont comparus publiquement en notre maison commune, Jean Marie Heulot, laboureur, né à Parcé le douze septembre mil huit cent seize à dix heure et demi du matin, ainsi qu'il est constaté par l'acte de naissance délivré au greffe du tribunal civil de Fougères le vingt huit avril mil huit soixante dix, domicilié à Montreuil des Landes, demeurant à la Délibardière, majeur, fils de feu Pierre Heulot, journalier, décédé à Fougères le vingt six mail mil huit cent vingt huit, à deux heures de l'après-midi, ainsi qu'il résulte de son acte de décès délivré à Fougères au tribunal civil le vingt huit octobre mil huit cent soixante dix, et de Marie Bordier, cultivatrice, décédée à Princé le trente un mai mil huit cent dix neuf à dix heures du soir, ainsi qu'il résulte de son acte de décès délivré à Princé le vingt neuf octobre mil huit cent soixante dix, et veuf de Perrine Gaigne, fileuse, âgée de soixante quatorze ans, décédée à Montreuil des Landes le six août mil huit cent soixante dix, ainsi que nous nous en sommes assuré nous même sur le registre: et Françoise Perrine Montulé, cultivatrice, née à Montreuil des Landes le dix huit décembre mil huit cent trente huit, ainsi que nous nous en sommes assuré nous même sur les registre, demeurant au Champs Thébault en cette commune, majeure, filles de Pierre Montulé domicilié en cette commune et de Perrine Guillet décédée à Montreuil des Landes le seize apout mil huit vent quarante trois, à neuf du matin, ainsi que nous nous en sommes assuré nous même sur le regitre; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté enttre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte de la maison commune les dimanches vingt trois et trente octobre présdente année aux dix heures du matin sans qu'il soit prévu aucune opposition au dit mariage. Nous avons en conformité de la loi du dix juillet mil huit cent cinquante interpellé les futurs époux ainsi que les personnes présentes qui autorisent le mariage, sur l'existence d'un contrat de mariage, et à l'instant on nous a répondu qu'il n'en existait pas, aucun opposition au dit mariage ne nous ayant été signifié, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s'uils veulent se prendre pour mari et pour femme. Chacun d'eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que Jean Marie Heulot et Françoise Perrine Montulé sont unis par le mariage, de quoi nous avons dressé acte en présence de Jacques Bouivetn âgé de soixante dix ans, Pierre Chantrel, âgé de quarante huit ans, les deux laboureurs et domiciliés de cette commune, Joseph Cordier, charpentier, âgé de vingt neuf ans, demeurant à la Délibardière en cette commune, Pierre Ferron, cordonnier, âgé de trente deux ans, demeurant au bourg de cette commune; l'époux le deuxième et le quatrième témoin ont signé avec nous le présent acte de mariage, l'épouse et les autres comparants et témoins ont déclaré ne savoir signer après lecture faite.